A voir absolument!

dimanche 25 novembre 2012

De Doha à Lyon...

Arrivé à l’aéroport, je me présente aux guichets indiqués pour l’enregistrement de mon vol… Raté… Ici, c’est Emirates. On m’indique alors les comptoirs British Airways… Arrivés là, personne… « It will open at 8. ». J’attends donc… A 8h10, toujours personne. 
J’engage la conversation avec mon voisin de file…
-Ils m’ont dit que le comptoir ouvrait à huit heures, mais il n’y a personne…
-Ah, moi, ils m’ont dit 8h15…
-Moi, j’ai eu droit à un 8h30, mais normalement, c’est plus 8h45 ajoute un habitué de la ligne… »
Je n’en avais pas parlé encore… Mais au Qatar, le temps ne connait pas les mêmes règles que nous… Comme dirait ma femme, ici, ils sont « Tason »… Ils prennent leur temps, trainassent, ainsi, il nous est arrivé d’attendre plusieurs minutes pour nous garer à la place d’un local qui nous avait fait signe qu’il partait…
Enfin, on enregistre les bagages. Direction la douane. Rapidement mis, le tampon sur mon passeport me permet d’aller aux contrôles sécurité. Avec la fatigue, j’oublie d’enlever mes chaussures avant de passer le portillons, qui forcément se met à sonner…
L’agent me regarde, et me dit (alors que j’écarte les bras comme font docilement les passagers du monde entier) « Nooo… It’s OK… You can go… »… Du coup, je comprends pourquoi on doit repasser les fouilles pour les correspondances dans les aéroports internationaux…
Après avoir un peu profité des duty free, la porte d’enregistrement ouvre… A l’entrée, de nouvelles fouilles de bagages… Et là… Pareille ! l’agent me regarde, et alors que j’ouvre mon bagage, il me dit « th’at’s not necessarry for you, you can go ! »et joignant le geste à la parole, il me colle un sticker « Bag controled »…
Pas grand-chose à dire sur le vol du retour, si ce n’est qu’après avoir effectué un vol long-courrier avec Singapore Airlines, les sandwitch froids servis en début de vol (après le saut de puce via Barhein) font au moins autant pâle figure que les écrans « d’ennui interactif » et que les hôtesses non souriantes…
J’ai été aussi un peu vexé par la communication avec l’équipage. Dans l’avion Doha-Barhein-Londres, tous les affichages et toutes les annonces étaient en deux langues, Anglais et arabe.
Dans l’avion qui nous a emmenés de Londres à Lyon, seuls l’anglais étaient utilisés à bord… Si l’on ajoute à ça des avions bondés (qui a dit trop petit ?), et donc des conditions de voyages encore plus inconfortable… 



 At the airport, I stand at the counters set to record my flight ... Missed ... Here is Emirates. He says where while British Airways counters ... At this point, nobody ... "It will open at 8. ". So I wait ...









At 8:10, still no. I started a conversation with my neighbor file ...
-They told me that the counter opened at eight o'clock, but there's nobody ...
Ah me, they told me ... 8:15
Me, I got a 8:30, but usually it is 8:45 adds a line familiar...
I had not spoken again ... But in Qatar, the time does not know the same rules as us ... As my wife would say, here they are "Tason" ... They take their time, trailed, so we came wait several minutes to park instead of a local sign that we had left ...
Finally, it checks baggage. Customs Directorate. Quickly put the stamp on my passport allows me to go to security checks. With fatigue, I forget to take my shoes off before passing the gates, which necessarily starts ringing ...
The agent looks at me and told me (while I spread my arms are meekly as passengers worldwide) "Nooo ... It's OK ... You can go ..." ... So, I understand why they must pass the excavations for matches at international airports ...
After a little advantage of duty free, registration opens the door ... At the entrance, new luggage searches ... And then ... Such! the agent looks at me, and then I open my luggage, he said, "th'at's not necessarry for you, you can go! "And suiting the action to the word, I stick a sticker" controled Bag "...
Not much to say about the return flight, if it is only after having made a long-haul flight with Singapore Airlines, served cold sandwitch flying start (after the jump chip via Bahrain) are the least as pale as screens "interactive trouble" and not smiling hostesses ...
I was also a little annoyed by the communication with the crew. The plane Doha-Bahrain-London, all displays and all announcements were in two languages, English and Arabic.
The plane that took us from London to Lyon, only English was used on ... If we add to that crowded planes (who said too little?), And therefore travel conditions even more uncomfortable ...


dimanche 18 novembre 2012

De Lyon à Doha

 Il est très tôt ce Vendredi matin quand l’hôtesse appel les passagers du vol BA 365. Mais tendu comme je le suis avant chaque voyage exotique, j’attends depuis longtemps dans le hall d’embarquement.
Le temps de prendre le Time et le Herald Tribune, et me voilà au fond de l’avion, à côté du hublot.
A peine décollé et pris un premier virage que le paysage qui défile sous les ailes est remplacé par un « champ de coton »… L’hiver arrive sur l’Europe, emportant avec lui nuages et légères turbulences… Tant pis, les paysages, ce sera pour une autre fois!

Le temps d’avaler un sandwich et une « cup of tea » offert par la compagnie, et c’est déjà la descente sur Londres…
Le trafic important d’Heathrow ne laisse pas le temps de s’ennuyer. A peine débarqué, du bus qui m’a emmené du terminal 1 au 5, il faut faire la queue pour repasser les contrôles de sécurités (pourtant déjà passés à Lyon… Mais je comprendrais enfin au retour pourquoi dans les aéroports internationaux, on doit repasser les contrôles de securité…), ou l’antipathie des passagers essayant de gratter une place rivalise avec le sourire format « porte de prison » des personnels chargés des contrôles… Le temps de les passer, et me voilà dans le hall d’embarquement. Tous les Jelly beans et barres de chocolats double decker n’arrivent pas à me faire lâcher des yeux le panneau d’affichage… Déjà, mon vol est annoncé, porte C57. Il faut traverser trois halls grâce à un train-navette. Ouf, lorsque j’arrive, l’enregistrement commence.
Après un embarquement qui pour ce 777-200 me semble presque plus long que celui que j’ai connu à bord de l’A380 de Singapore Airlines, L’avion décolle, fait une boucle autour de Londres, et se tournant vers la Mecque prends de l’altitude.
Le temps de passer au-dessus des nuages, et nous sommes en croisières, lancés à plus de 900Km/h, à 10000 mètres d’altitude. Des nuages, comme des champs de cotons nous masqueront la quasi-totalité des beaux paysages de la Belgique, de l’Allemagne, de l’Autriche, de la Hongrie et de la Bulgarie. Lorsqu’ils se dispersent enfin, au-dessus de la mer noire, c’est pour laisser place à la nuit, aussi noire que les champs pétrolifère d’Iraq (percés tout de même par les flammes immenses et nombreuses des torchères) que nous survolons après avoir passé la Turquie. Enfin, le survol du golf annonce notre descente vers Barhein.
Les trois quarts des passagers descendent ici, remplacés après une heure d’escale par seulement une poignée de locaux qui rentrent chez eux. Drôle d’escale, ou la compagnie nous interdit (de façon polie mais formelle) de descendre de l’avion, mais ou visiblement la présence de passager gênent les manœuvre de ravitaillement de l’avion… Enfin, nous repartons pour un vol très court (environs 140Km), car seulement 30 minutes de vol séparent les deux états.
Posés à Doha, nous sommes emmenés en bus jusque l’aéroport, ou les opérations de passage de la frontière sont déjà en cours pour deux à trois cent personnes… Le hall est bondé, le poste frontière, malgré le professionnalisme des gardiens, saturés… Mais en moins d’une heure, j’arrive à passer le contrôle (il suffit de sourire à une machine qui nous prend en photo, payer 100 Rial, et faire tamponner le passeport par le douanier)… Je récupère ma valise, et me voilà dehors, il est 23h00 heure locales…




 Lyon to Doha ...

It is very early this Friday morning when the hostess call the passengers of Flight BA 365. But as I am tense before each exotic trip, I have been waiting in the departure lounge for a long time!
Time to take the Herald Tribune and Time, and I am at the bottom of the plane, next to the window.
Just after take off and took first turn, the landscape passing beneath the wings is replaced by a "cotton field" ... Winter is coming to Europe, carrying with it clouds and light turbulence ... Too bad, the landscapes, will be for another time!

Time to eat a sandwich and a "cup of tea" offered by the company, and it is already descending on London ...
Heavy traffic from Heathrow leaves no time to get bored. Just landed, the bus that took me from terminal 1 to 5, you have to queue to board the security checks (already performed in Lyon ... But I will finally understand why the international airports made us pass security controls during connecting flight when I'll come back from Doha...), or antipathics passengers trying to scrape a place rivaling smile format "prison door" of personnel responsible for control ... The time to go, and I am in the departure lounge. All Jelly beans and chocolate bars double decker can not let go of my eyes billboard ... Already, my flight is announced, door C57. You have to cross three halls with a shuttle train. Wow, when I arrived, the recording starts.
After embarkation for 777-200 seems almost longer than I have experienced on board the Singapore Airlines A380, the plane takes off, looped around London, take altitude and turning towards Mecca direction.
Time to go above the clouds, and we cruise, launched more than 900km / h at 10,000 meters. Clouds like cotton fields will mask almost all the beautiful landscapes of Belgium, Germany, Austria, Hungary and Bulgaria. When they finally disperse above the Black Sea is to leave room for the night, as black as the oil fields of Iraq (still drilled by huge flames and many flares) that we fly over after spending Turkey. Finally, the overview of golf announces our descent to Bahrain.
Three quarters of passengers disembark here replaced after an hour of call by only a handful of local returning home. Funny call, or company forbids us (in a polite but formal) off the plane, but obviously the presence or hinder the operation of passenger refueling aircraft ... Finally, we leave for a very short flight (about 140Km), because only 30 minutes flying time separating the two states.
Posed in Doha, we took the bus up to the airport, where the operations of border crossing are already underway for two to three hundred people ... The lobby is crowded, the border, despite the professionalism of guards, saturated ... But in less than an hour, I can pass control (just smile at a machine that takes a picture, pay 100 Rial, and to stamp the passport by the customs) ... I get my suitcase and me this out, it is 23:00 hrs local ...





dimanche 4 novembre 2012

Kriss landing

 Quand les pilotes touchent le sol avec une fin d'approche si douce que les passagers ne se rendent pas comptent que l'avion à cessé de voler, on parle de "Kiss landing" (de l'anglais posé comme un baiser). A l'opposé, quand le posé est plus brusque, et que les pneus brûlent au contact du sol, on parle de Kriss Landing...



When the pilots touch really smoothly the ground, when the passenger cannot feel the instant when the plane stop to fly, we speak about a "Kiss Landing". At the opposite, when the plane touche hardely the ground, the tyres burn in smoke... It is a kriss landing...

dimanche 28 octobre 2012

Lockheed L1011 Tristar, le "ten-eleven".

Je vous avait déjà parlé il y à quelques temps du tristar L1011 stationné vers la zone Cargoport à Lyon Saint Exupéry.

La semaine passée, j'ai eu la chance d'en observer un évoluer sur la même plateforme...
Né dans les années soixante suite à un appel d'offre d'American Airlines pour un avion long courrier plus petit que le Boeing 747 à Lookheed et Douglas, le programme sera lancé en concurrence avec le McDonnell Douglas DC10 (qui remportera d’ailleurs l'appel d'offre d'American Airlines).
Afin de gagner en stabilité, et contrairement à son rival le DC10, le troisième moteur est placé dans la queue de l'appareil, et non dans la dérive. Celà entraine des délais de conception supplémentairs, a ajouter aux délais causés par la faillite, puis la reprise par l'état anglais du motoriste Rolls Royce.
Le 16 Novembre 1970, l'avion décolle pour la première fois. D'une capacité de 400 places, il est alors considéré comme peu gourmands en carburant et silencieux (enfin... Pour les standards de l'époque!)
 7 versions différentes de l'avion ont été produites, pour environs 250 unités (alors qu'il aurais fallut  en vendre au moins 500 pour couvrir les coûts) entre la première livraison le 26 Avril 1972 et l'arret de production en 1984. Après cet échec commercial, Lockheed se retire définitivement du marché aérien civile, donnant seulement l'assurance à ces clients d'assurer la fourniture de pièces de rechange tant que ces avions voleraient.
Le 29 Décembre 1972, un tristar assurant le vol N°401 de Eastern Airlines est le premier gros porteur de l'histoire à s'écraser. L'accident est alors attribué à une erreur humaine.

Aujourd'hui, on compte encore une trentaine d'avion toujours en exploitation, dont 9 pour la royal air force.




In the past, I've ever speak about the Tristar L1011 parked on the Cargoport area in Lyon Saint Exupéry.


Last week, i had the chance to observe a move on the same platform...
Born in the sixties after a bid from American Airline for a long-range aircraft smaller than the Boeing 747 to Lokheed and Douglas, the programhas run concurrently with the Mc Donnell Douglas DC10 (who also won the American Airlines bid).
To gain stability, unlike its rival DC10, the third engine is placed in the tail of the aircraft, and not in the tail drift. This results in design time delay, has added to another delay caused by the bankruptcy and takeover by the England states of the engine furnisher Rolls Royce.

On November, the 16th, 1970, the aircraft took off for the first time. With a capacity of 400 seats, it is considered to be fuel efficient and quiet (well... For the standards of the time!)

 7 different versions of the aircraft have been produced for about 250 units (as he would have had to sell at least 500 to cover the costs) between April 26th 1972 and stop production in 1984. After the commercial failure, Lockheed withdrew permanently from the civil aviation market, only giving assurance to its customers to ensure the provision of spare parts as these aircraft would fly.

On December, the 29, 1972, Tristar flight N°401 of Eastern Airline was the first widebody aircraft to crash. Tha accident os attributed to human error.

Today, there are still thirty aircraft still in operation, including 9 for the Royal Air Force.



dimanche 21 octobre 2012

Far in the sky

Depuis le sol, regard vers le ciel, quelques photos d'avions en vol...


Few pictures from the ground of airplanes whom are far in the sky...

dimanche 14 octobre 2012

North American TG Texan


Produit à 15495 exemplaire toutes versions confondues, le North American T6 Texan est dérivé dans la fin des années 30 du NA16.
Il fut construit pour répondre à la compétition "Basic Combat" de Mars 1937, sa victoire lui assura directement 180 commandes de la part de l'USAAC.
Par la suite, la guerre en Europe remplis le carnet de commande, les deux plus gros clients etant l'armée Américaine et le Royale Air Force Britanique.
Surtout utilisé comme avion d'entrainement, le NA T6 pouvait voler à 335Km/ heure, avec un plafond de 7400 mètres avec un rayon d'action de 1175Km.
Équipé  d'un moteur en étoile Pratt & Whitney R-140-AN-1 WASP, l'avion pesait 2t548 avec ces armes.
D'une envergure de 12m81, il était long de 8m84 et haut de 3m57.

 Produced at 15495 copies (all versions), the North American T6 Texan is derived of NA16 in the late 30s.

It was built to meet the competition "Basic Combat" in March 1937, It's victory assured it directly 180 orders from the USAAC.
Thereafter, the  war in Europe filled the order book, the two largest customers being the U.S. Army and the Britanic Royal Air Force.
Mainly used as a training aircraft, the NA T6 could fly 335 km/h, with a ceiling of 7400 meters and a range of 1175Km.
With a star engine Pratt & Whitney R-140-AN-1 Wasp, the aircraft was 2t548 with all weapons.
With a wingspan of 12m81, it was  8m84 long and 3m57 high.




dimanche 7 octobre 2012

Vu depuis la plage, cet été...

Quelques photos d'un Morane Saulnier MS 893 A tractant une banderole publicitaire cet été... 


Few pictures of a Mauranne Saulnier MS 893 towing an advertissement flag.

dimanche 23 septembre 2012

Dassault Mercure 100

Lancé en Avril 1969, le programme Mercure semblais très prometteur, les études de marchés promettant un potentiel de 1500 appareils.
Effectué sous la direction de Dassault, la fabrication est répartie entre FIAT (Italie), CASA (Espagne), ADAP (Belgique), la Fabrique Fédérale d'Avion FW D'Emmen (Suisse) et Canadair (Canada).
Enfin, l'assemblage finale était exécute par Dassault, sur le site de Mérignac pour le prototype, puis à Istres pour les 9 autres machines assemblées.

Le 28 Mai 1971, le premier avion effectue son premier vol depuis Merignac, quatre jours avant d'être officiellement présenté au Bourget.
Le 30 Janvier 1972, la compagnie Air Inter passe commande de 10 appareils. Ces dix appareils resteront les seuls vendus...

Victime du choc pétrolier, de la chute du Dollar, et d'une piètre motorisation (les Pratt & Whitnay l'équipant sont bruyant et peu économes en carburant), de plus, l'avion souffre d'un mouvement de lacet qui rends les places arrières inconfortables.

En 1985, le Mercure sera le premier avion à être opéré par un équipage totalement féminin sur une liaison entre Paris et Lyon.

Le 29 Avril 1995, Air Inter met à la retraite ces deux derniers Mercure.
Le bilan est finalement flatteur, malgré l'echec commercial... Les dix avions ont cumulés 360000 heures de vol, et en 440000 vols ont transportés 44 millions de passagés, sans accidents, et avec une régularité de vol de 98%.
Equipage: 3 personnes
Longueur 34,84m
Envergure: 30.55m
Hauteur: 11.36m
Surface alaire: 116²
Masse maximum au décollage: 56.5t
Masse maximum à l'atterissage: 52t
Masse à vide: 31.8t
Quantité de kérosen: 14750L
Passagers: 150
Motorisation: 2 turboréacteurs double flux Pratt & Whittney JT8D-15
Poussée unitaire: 68.9Kn
Vitesse maximal: 925 Km/h à 6095m.





Launched in April 1969, the Mercury program seemed to have very promising market potential with 1,500 units expected.
Performed under the direction of Dassault, manufacture is divided between FIAT (Italy), CASA (Spain), ADAP (Belgium), the Federal Aircraft Factory FW from Emmen (Switzerland) and Canadair (Canada).
Finally, the final assembly was run by Dassault in Merignac site for the prototype, and then for the other 9  machines, they were assembled in Istres manufacture.

On 28 May 1971, the first aircraft do ​​its first flight from Merignac, four days before being officially presented at Le Bourget air show.
On 30 January 1972, Air Inter placed an order for 10 aircraft. These ten aircraft will only sold ...

Victim of the oil shock the dollar fall, and the poor engine (the Pratt & Whitnay equipping are noisy and fuel-efficient), moreover, the plane suffers a yaw realize that the rear seats uncomfortable.

In 1985, Mercury will be the first aircraft to be operated by an all-female crew on a link between Paris and Lyon.

On 29 April 1995, Air Inter is retired the last two Mercury.
The balance is ultimately flattering, despite the commercial failure... The ten aircraft have accumulated 360,000 hours of flight, and 440,000 flights have transported 44 million passages, no accidents, and with a regularity of 98% vol.

Crew: 3 persons
Length 34.84 m
Wingspan: 30.55m
Height: 11.36m
Wing area: 116 m²
Maximum takeoff weight: 56.5t
Maximum weight for landing: 52t
Empty weight: 31.8t
Amount of kérosen: 14750L
Passengers: 150
Engines: 2 turbofan Pratt & Whittney JT8D-15
Thrust unit: 68.9Kn


Maximum speed: 925 km / h to 6095m.

dimanche 9 septembre 2012

ULM

 Les ultras légers motorisés (ULM) sont les ailes volantes, parapentes, avions, hélicoptères, autogires, … Bref, tous les appareils volants d’une puissance inférieur à 90Kw (suivant classe de l’appareil) et d’un poids inférieur à 450Kg.
            6 classes d’ULM existent: les para-moteur, les pendulaire, les multiaxe, les autogires légers, les aérostat dirigeable ultraléger, et enfin, les hélicoptères ultralégers.
Les débuts des ULM remontent à environs une trentaine d’année. Issu du vol libre, en particulier du deltaplane. Dans les années 70, l’idée de vouloir s’affranchir des reliefs pour voler poussa les fans de vol à voile à équiper leurs ailes de petits moteurs de tronçonneuse…
La pratique de l’ULM nécessite l’obtention d’un brevet de pilote d’ULM. Le pilotage est autorisé dès 15 ans révolus. Après une dizaine d’heure d’instructions en vol, et un QCM de 40 questions, l’élève pilote réalise son lâché. Si l’instructeur juge alors l’élève apte, la DGAC délivre une licence valable à vie, sans conditions… Le carnet de vol n’est pas obligatoire.
En France, la catégorie est toujours en pleine expansion, avec +10% de licenciés par ans, avec 12500 pilotes. Des chiffres à rapprocher aux 40000 titulaires du PPL, et les presque -2% de titulaires par ans depuis 2005…


 The ultra light motorized aircraft (ULM) are gliders, paragliders, airplanes, helicopters, gyroplanes, ... In short, all flying machines of a lower power to 90kW (depending on the unit class) and weighing less than 450Kg .
6 ULM classes exist in France: the para-motor, pendulum, the multi-axis, light gyroplanes, dirigible airship's lightweight, and finally, ultralight helicopter.
The beginnings of ULM back to around thirty years. From free flying, especially gliding wings. In the 70s, the idea of wanting to be free from relief to fly gave gliding wings fans to equip their wings with small chainsaw engines ...
The practice of ULM requires obtaining a pilot ULM. The control is allowed from 15 years of age. After ten hours of flight instruction, and a quiz of 40 questions, the student pilot achieves its released. If the instructor deems the student then fit the DGCA shall issue a license valid for life without conditions ... The logbook is not required.
In France, the category is still growing, with 10% of graduates per year, with 12,500 drivers. Figures closer to the 40,000 holders of PPL, and almost -2% per year since 2005, holding ...