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dimanche 8 avril 2012

Un voyage en A380

Les photos de cet articles présentées dans l'ordre dans lequel elles ont été prises.
The pictures shown here are in the same order as done.



Lorsque mon chef m’a demandé de partir pour Singapour, je n’ai pas réfléchi beaucoup.
A peine la mission accepté que je vérifiais les vols. Air France me proposais un vol depuis Paris, et apparemment, y exploite des Boeing 777.
Quantas Airlines propose aussi des vols vers la capitale asiatique, mais opère depuis Londres. (Et donc, le billet aurait été plus cher…).
Enfin, depuis Paris, Singapore Airlines propose des vols assez économiques, à bord d’Airbus A380. Je n’hésitais donc pas longtemps avant de choisir ce vol!
Je suis parti de chez moi par un vol Air France Samedi 17 Mars au matin, afin de rallier Roissy Charles De Gaulle. Arrivé là-bas, l’enregistrement est très bien mené, et permet de faire entrer plus de 500 passagers dans un hall dédié à ce vol. En moins d’une demie heure, les trois passerelles (une pour les première classe, deux pour les autres) permettent d’embarquer tout le monde.

Placé sur le siège 48E, j’étais dans l’allée centrale, bloqué par un passager, mais heureusement, avec un espace devant moi pour pouvoir me lever sans le déranger.
Pas le temps de faire le tour de l’avion, il faut s’assoir et s’attacher. Les hôtesses distribuent avant le taxiage des serviettes humides et chaudes légèrement parfumées qui sont très agréables. Puis l’avion commence à rouler. Depuis le milieu de l’avion, la sensation est blufante. On voit bien par le hublot que ça bouge. Mais si on ferme les yeux… Ben on ne s’en rend pas compte! Aucun bruit, ni aucune vibration durant le taxiage…



Au moment du décollage, mon voisin, habitué de la ligne, se tourne vers moi, et sur le ton d’une conversation normale, sans hausser la voix, me confie que l’accélération maximale de l’avion est atteinte... Pourtant, la cabine est toujours suffisamment silencieuse pour être plus gêné par les conversations des autres passagers que par le bruit des moteurs... Quant à l’accélération…. Je ne peux pas dire qu’il n’y a aucune impression, mais l’ATR 42 que je prends parfois accélère plus fort… A peine dépassé les 300 kilomètres par heures, l’avion bascule, et décolle…
Lors de l’embarquement, un coussin et une couverture nous attendaient. Ce n’est que peu après le décollage que les hôtesses et stewards s’affairent pour ajouter un kit comprenant chaussettes, et brosse à dents, casque audio pour les films, et un rafraîchissement (je vous conseille à cette occasion de gouter au Singapore Sling!!).Quelques minutes après le décollage, nous sommes autorisés à nous lever. La première impression, c’est que ou que je sois dans l’avion, je peux me lever sans avoir à baissé la tête… Et en plus, il reste de la marge! Les coffres à bagage sont eux aussi suffisamment grands. Et de voir un escalier à chaque extrémité de l’avion… C’est franchement très impressionnant… On se croirait plus dans un TGV… Bien que celui-ci ne soit ni aussi spacieux, ni aussi confortable, ni aussi silencieux… Et de loin!
En classe éco, chaque siège est équipé d’un écran rangé dans l’appui tête, et une télécommande permet d’accéder à une variété impressionnante de films, documentaires, informations, jeux, …
Après environ 2h00 de vol, la première collation est servie. Deux menus sont proposés au choix, et la qualité est plutôt pas mal. Certains légumes auraient mérités plus de cuisson, mais bon… En tout cas, je n’ai rien laissé sur le plateau!








La suite du vol est un peu monotone, le personnel de cabine restant aux petits soins, prêt à distribuer sandwichs et boissons sur demande, l’anticipant même parfois.
Lorsque nous survolons le Pakistan, nous rattrapons la nuit. Il faut alors essayer de dormir, d’ailleurs, les lumières sont baissés… Mais bon, en heure Française, nous ne sommes qu’en début d’après-midi… Difficile donc de fermer l’œil!

Lorsque l’avion approche de l’océan indien, le commandant demande régulièrement d’attacher les ceintures. En effet, et comme dans beaucoup de régions tropicales, le ciel fait subir ces caprices à l’avion qui est secoué dans tous les sens. Mais là encore, rien à voir avec ce que l’on peut expérimenter sur un petit liner… Les turbulences sont « molles », et l’avion reste silencieux même lors des coups plus violents.
Enfin, environs une heure avant l’arrivée, un petit déjeuné, de qualité au moins équivalente au repas servi au départ est proposé.
Encore une fois, je n’ai rien laissé…
Enfin, après 12 heures de vol, nous contournons Singapour par le nord, en direction du sud, puis demi-tour, et landing… Les portes s’ouvrent… Et le reste est raconté là-bas.







































When my boss asked me to leave for Singapore, I have not thought much.
As soon as the mission agreed that I was checking flights. Air France was proposing a flight from Paris, and apparently has operated Boeing 777.Quantas Airlines also offers flights to the capital of Asia, but operates from London. (And therefore, the ticket would have been more expensive ...).


Finally, from Paris, Singapore Airlines offers flights quite economical, on board the Airbus A380. I did not hesitate long before deciding on this flight!I left my home by an Air France flight Saturday, March 17 in the morning to rally Roissy Charles De Gaulle. The record is very well done, and can bring more than 500 passengers in a hall dedicated to this flight. In less than half an hour, the three bridges (one for first class, two for the others) allow everyone to board.




Placed on the seat 48E, I was in the aisle blocked by a passenger, but fortunately, with a space before me to be able to get up without disturbing it.No time to walk around the plane, he must sit and focus. The hostesses before taxiage distribute wet towels and hot lightly scented which are very nice. Then the plane begins to roll. Since the middle of the plane, the sensation isunbeliveble. We can see through the window as it moves. But if you close your eyes ... Well, we did not realize! No noise and no vibration during taxiage ...At takeoff, my neighbor (who often used the line), turns to me, and the tone of a normal conversation, without raising his voice, tells me that the maximum acceleration of the aircraft is reached ... However, the cabin is still quiet enough to be bothered by the conversations of other passengers as engine noise ... As well as speeding .... I can not say that there is no impression, but the ATR 42 that I take sometimes accelerates harder ... As soon exceeded 300 kilometers per hour, the plane rolling, and take off ...During boarding, a pillow and a blanket were waiting for us. Only shortly after takeoff that flight attendants are working to add a kit with socks, and toothbrush, headphones for movies, and refreshments (get this opportunity to taste the Singapore Sling! Its largely better at destination, but it’s a first contact…).


A few minutes after takeoff, we are allowed to get up. The first impression is that on the plane, I can get up without having to head down ... And besides, there is still margin! The luggage lockers are also large enough. And see a staircase at each end of the plane ... It's frankly very impressive ... It's like a bullet train, but in more ... Although the train is not as spacious nor as comfortable nor as quiet ... And by far!In economy class, each seat is equipped with a screen placed in the headrest, and a remote control provides access to an impressive variety of films, documentaries, news, games, ...After about 2:00 flight, the first snack is served. Two menus are offered the choice, and the quality is pretty good. Some vegetables have earned to be more cooked, but ... Anyway, I have nothing left on the shelf!


Following of the flight was a bit boring, the cabin crew remaining very caring, ready to distribute sandwiches and drinks on demand, sometimes even anticipating.When we fly over Pakistan, we are catching up at night. Then you try to sleep, however, the lights are lowered ... Anyway, in French time, we are only in the early afternoon ... so hard to close my eyes!When the aircraft approached the Indian Ocean, the commander regularly asked to attach the safety belts. Indeed, and as in many tropical regions, the sky is subjected to the whims of these aircraft is shaken in all directions. But again, nothing to do with what one can experience a little turbulence ... liner are "soft" and the aircraft remains silent even during the most violent blows.Finally, about an hour before arrival, a small lunch, quality at least equivalent to the meals served initially proposed.Again, I have nothing left ...Finally, after 12 hours of flight, we went around Singapore from the north, south, then turn around and landing ... The doors open ... And the rest is told there.

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