Arrivé à l’aéroport, je me présente aux guichets indiqués pour l’enregistrement de mon vol… Raté… Ici, c’est Emirates. On m’indique alors les comptoirs British Airways… Arrivés là, personne… « It will open at 8. ». J’attends donc… A 8h10, toujours personne.
J’engage la conversation avec mon voisin de file…
-Ils m’ont dit que le comptoir ouvrait à huit heures, mais il n’y a personne…
-Ah, moi, ils m’ont dit 8h15…
-Moi, j’ai eu droit à un 8h30, mais normalement, c’est plus 8h45 ajoute un habitué de la ligne… »
Je n’en avais pas parlé encore… Mais au Qatar, le temps ne connait pas les mêmes règles que nous… Comme dirait ma femme, ici, ils sont « Tason »… Ils prennent leur temps, trainassent, ainsi, il nous est arrivé d’attendre plusieurs minutes pour nous garer à la place d’un local qui nous avait fait signe qu’il partait…
Enfin, on enregistre les bagages. Direction la douane. Rapidement mis, le tampon sur mon passeport me permet d’aller aux contrôles sécurité. Avec la fatigue, j’oublie d’enlever mes chaussures avant de passer le portillons, qui forcément se met à sonner…
L’agent me regarde, et me dit (alors que j’écarte les bras comme font docilement les passagers du monde entier) « Nooo… It’s OK… You can go… »… Du coup, je comprends pourquoi on doit repasser les fouilles pour les correspondances dans les aéroports internationaux…
Après avoir un peu profité des duty free, la porte d’enregistrement ouvre… A l’entrée, de nouvelles fouilles de bagages… Et là… Pareille ! l’agent me regarde, et alors que j’ouvre mon bagage, il me dit « th’at’s not necessarry for you, you can go ! »et joignant le geste à la parole, il me colle un sticker « Bag controled »…
Pas grand-chose à dire sur le vol du retour, si ce n’est qu’après avoir effectué un vol long-courrier avec Singapore Airlines, les sandwitch froids servis en début de vol (après le saut de puce via Barhein) font au moins autant pâle figure que les écrans « d’ennui interactif » et que les hôtesses non souriantes…
J’ai été aussi un peu vexé par la communication avec l’équipage. Dans l’avion Doha-Barhein-Londres, tous les affichages et toutes les annonces étaient en deux langues, Anglais et arabe.
Dans l’avion qui nous a emmenés de Londres à Lyon, seuls l’anglais étaient utilisés à bord… Si l’on ajoute à ça des avions bondés (qui a dit trop petit ?), et donc des conditions de voyages encore plus inconfortable…
At the airport, I stand at the counters set to record my flight ... Missed ... Here is Emirates. He says where while British Airways counters ... At this point, nobody ... "It will open at 8. ". So I wait ...
At 8:10, still no. I started a conversation with my neighbor file ...
-They told me that the counter opened at eight o'clock, but there's nobody ...
Ah me, they told me ... 8:15
Me, I got a 8:30, but usually it is 8:45 adds a line familiar...
I had not spoken again ... But in Qatar, the time does not know the same rules as us ... As my wife would say, here they are "Tason" ... They take their time, trailed, so we came wait several minutes to park instead of a local sign that we had left ...
Finally, it checks baggage. Customs Directorate. Quickly put the stamp on my passport allows me to go to security checks. With fatigue, I forget to take my shoes off before passing the gates, which necessarily starts ringing ...
The agent looks at me and told me (while I spread my arms are meekly as passengers worldwide) "Nooo ... It's OK ... You can go ..." ... So, I understand why they must pass the excavations for matches at international airports ...
After a little advantage of duty free, registration opens the door ... At the entrance, new luggage searches ... And then ... Such! the agent looks at me, and then I open my luggage, he said, "th'at's not necessarry for you, you can go! "And suiting the action to the word, I stick a sticker" controled Bag "...
Not much to say about the return flight, if it is only after having made a long-haul flight with Singapore Airlines, served cold sandwitch flying start (after the jump chip via Bahrain) are the least as pale as screens "interactive trouble" and not smiling hostesses ...
I was also a little annoyed by the communication with the crew. The plane Doha-Bahrain-London, all displays and all announcements were in two languages, English and Arabic.
The plane that took us from London to Lyon, only English was used on ... If we add to that crowded planes (who said too little?), And therefore travel conditions even more uncomfortable ...