Le temps de prendre le Time et le Herald Tribune, et me voilà au fond de l’avion, à côté du hublot.
A peine décollé et pris un premier virage que le paysage qui défile sous les ailes est remplacé par un « champ de coton »… L’hiver arrive sur l’Europe, emportant avec lui nuages et légères turbulences… Tant pis, les paysages, ce sera pour une autre fois!
Le temps d’avaler un sandwich et une « cup of tea » offert par la compagnie, et c’est déjà la descente sur Londres…
Le trafic important d’Heathrow ne laisse pas le temps de s’ennuyer. A peine débarqué, du bus qui m’a emmené du terminal 1 au 5, il faut faire la queue pour repasser les contrôles de sécurités (pourtant déjà passés à Lyon… Mais je comprendrais enfin au retour pourquoi dans les aéroports internationaux, on doit repasser les contrôles de securité…), ou l’antipathie des passagers essayant de gratter une place rivalise avec le sourire format « porte de prison » des personnels chargés des contrôles… Le temps de les passer, et me voilà dans le hall d’embarquement. Tous les Jelly beans et barres de chocolats double decker n’arrivent pas à me faire lâcher des yeux le panneau d’affichage… Déjà, mon vol est annoncé, porte C57. Il faut traverser trois halls grâce à un train-navette. Ouf, lorsque j’arrive, l’enregistrement commence.
Après un embarquement qui pour ce 777-200 me semble presque plus long que celui que j’ai connu à bord de l’A380 de Singapore Airlines, L’avion décolle, fait une boucle autour de Londres, et se tournant vers la Mecque prends de l’altitude.
Le temps de passer au-dessus des nuages, et nous sommes en croisières, lancés à plus de 900Km/h, à 10000 mètres d’altitude. Des nuages, comme des champs de cotons nous masqueront la quasi-totalité des beaux paysages de la Belgique, de l’Allemagne, de l’Autriche, de la Hongrie et de la Bulgarie. Lorsqu’ils se dispersent enfin, au-dessus de la mer noire, c’est pour laisser place à la nuit, aussi noire que les champs pétrolifère d’Iraq (percés tout de même par les flammes immenses et nombreuses des torchères) que nous survolons après avoir passé la Turquie. Enfin, le survol du golf annonce notre descente vers Barhein.
Les trois quarts des passagers descendent ici, remplacés après une heure d’escale par seulement une poignée de locaux qui rentrent chez eux. Drôle d’escale, ou la compagnie nous interdit (de façon polie mais formelle) de descendre de l’avion, mais ou visiblement la présence de passager gênent les manœuvre de ravitaillement de l’avion… Enfin, nous repartons pour un vol très court (environs 140Km), car seulement 30 minutes de vol séparent les deux états.
Posés à Doha, nous sommes emmenés en bus jusque l’aéroport, ou les opérations de passage de la frontière sont déjà en cours pour deux à trois cent personnes… Le hall est bondé, le poste frontière, malgré le professionnalisme des gardiens, saturés… Mais en moins d’une heure, j’arrive à passer le contrôle (il suffit de sourire à une machine qui nous prend en photo, payer 100 Rial, et faire tamponner le passeport par le douanier)… Je récupère ma valise, et me voilà dehors, il est 23h00 heure locales…
Lyon to Doha ...
It is very early this Friday morning when the hostess call
the passengers of Flight BA 365. But as I am tense before each exotic trip, I
have been waiting in the departure lounge for a long time!
Time to take the Herald Tribune and Time, and I am at the
bottom of the plane, next to the window.
Just after take off and took first turn, the landscape passing beneath
the wings is replaced by a "cotton field" ... Winter is coming to
Europe, carrying with it clouds and light turbulence ... Too bad, the
landscapes, will be for another time!
Time to eat a sandwich and a "cup of tea" offered
by the company, and it is already descending on London ...
Heavy traffic from Heathrow leaves no time to get bored.
Just landed, the bus that took me from terminal 1 to 5, you have to queue to
board the security checks (already performed in Lyon ... But I will finally understand
why the international airports made us pass security controls during connecting flight when I'll come back from Doha...), or
antipathics passengers trying to scrape a place rivaling smile format
"prison door" of personnel responsible for control ... The time to
go, and I am in the departure lounge. All Jelly beans and chocolate bars double
decker can not let go of my eyes billboard ... Already, my flight is announced,
door C57. You have to cross three halls with a shuttle train. Wow, when I
arrived, the recording starts.
After embarkation for 777-200 seems almost longer than I
have experienced on board the Singapore Airlines A380, the plane takes off,
looped around London, take altitude and turning towards Mecca direction.
Time to go above the clouds, and we cruise, launched more
than 900km / h at 10,000 meters. Clouds like cotton fields will mask almost
all the beautiful landscapes of Belgium, Germany, Austria, Hungary and Bulgaria.
When they finally disperse above the Black Sea is to leave room for the night,
as black as the oil fields of Iraq (still drilled by huge flames and many
flares) that we fly over after spending Turkey. Finally, the overview of golf
announces our descent to Bahrain.
Three quarters of passengers disembark here replaced after
an hour of call by only a handful of local returning home. Funny call, or
company forbids us (in a polite but formal) off the plane, but obviously the
presence or hinder the operation of passenger refueling aircraft ... Finally,
we leave for a very short flight (about 140Km), because only 30 minutes flying
time separating the two states.
Posed in Doha, we took the bus up to the airport, where the
operations of border crossing are already underway for two to three hundred
people ... The lobby is crowded, the border, despite the professionalism of
guards, saturated ... But in less than an hour, I can pass control (just smile
at a machine that takes a picture, pay 100 Rial, and to stamp the passport by
the customs) ... I get my suitcase and me this out, it is 23:00 hrs local ...
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